OK, aujourd'hui je suis allé dévaliser le Vidéotron de mon quartier pour y acheter un film en particulier et je suis ressorti avec tout sauf celui que je voulais. Mais c’est pas grave parce que j'ai quand même trouvé d'autres films que je voulais vraiment et même certains que j'avais momentanément oublier. Parmi ces films, ce trouvait Remember Me (La Rage de Vivre) et laissez-moi dire que, même à la deuxième écoute, ce film m'a laissé complètement bouleversé. Je me souviens la première fois que je l'avais vu: c'était il y a pas si longtemps et je me rappelle que tout le reste de la journée, depuis la sortie du cinéma jusqu'au moment où je suis allé me coucher, je n'avais prononcé nul mots. J'étais complètement sous le choc. Et, aujourd'hui, en l'écoutant, étant donné que je savais la fin, j'avais le moton dans la gorge pendant la majorité du film. Je l'ai encore d'ailleurs. Donc, en gros, si vous aimez les bons drames bouleversants qui vous font réfléchir sur la vie et arrosés d'une fin qui vous fera obligatoirement pleurer, je me demande vraiment ce que vous attendez pour aller le louer.
dimanche 8 mai 2011
samedi 7 mai 2011
Judas
Au début, je ne savais pas trop si je l’aimais ce vidéoclip. Je trouvais qu’il lui manquait une histoire ou du moins un but qui d’habitude est toujours présent dans les clips de Lady Gaga. Ça me semblait, au départ, n’être qu’une vidéo de danse, certes avec une grosse touche Gaga, mais qu’à peu près n’importe quel chanteur/chanteuse pop aurait pu produire. Je me trompais amèrement.
mercredi 4 mai 2011
Un congé bien mérité
Hier on a enfin présenté notre pièce de théâtre qu'on pratiquait depuis 9 mois. C'est comme un peu donner naissance à un gros enfant de 75 minutes servant à divertir un public. Bref, tout comme l'année passée, notre pièce fut super bien reçu ! Les gens ont ris, on applaudit jusqu'à s'en saigner les mains et ils nous ont félicités en grand nombre ! Alors aujourd'hui, en guise de récompense, je me suis octroyé le droit à un congé bien mérité pour enfin pouvoir dormir comme du monde et récupérer de tout le stress accumulé depuis les dernières semaines. Demain aura lieu notre dernière représentation avant de clore cette saison à tout jamais, mais je n'en ressens aucune tristesse. Certes, j'adore le théâtre et notre troupe, mais ça fait du bien une fois que c'est terminé. De toute façon, en septembre prochain tout recommencera à nouveau.
Donc en gros, ce que j'ai fait aujourd'hui: dormir, écouter des films et, étonnamment, écrire. Ça faisait un bail que je n'avais pas écris (entre autre à cause du temps que me bouffait le théâtre et du stress qui m'empêchait d'écrire comme du monde) et tout d'un coup, en prenant ma douche, une idée trop débile mentale (!!!!) est venu exploser la partie créative de mon cerveau. C'est comme une façon différente de présenter la même histoire que je n'arrête pas de vous achaler avec (voir dix-sept chapitres) et, franchement, ça rend l’histoire encore plus intéressante. Du génie pour la créativité, je ne vous dis même pas.
Donc en gros, ce que j'ai fait aujourd'hui: dormir, écouter des films et, étonnamment, écrire. Ça faisait un bail que je n'avais pas écris (entre autre à cause du temps que me bouffait le théâtre et du stress qui m'empêchait d'écrire comme du monde) et tout d'un coup, en prenant ma douche, une idée trop débile mentale (!!!!) est venu exploser la partie créative de mon cerveau. C'est comme une façon différente de présenter la même histoire que je n'arrête pas de vous achaler avec (voir dix-sept chapitres) et, franchement, ça rend l’histoire encore plus intéressante. Du génie pour la créativité, je ne vous dis même pas.
mardi 3 mai 2011
lundi 2 mai 2011
Jour d'élections fédérales
J'aimerais tellement être majeur...
Ça fait qu’allez donc voter les grands ! Pour moi, ok ?
Ça fait qu’allez donc voter les grands ! Pour moi, ok ?
mercredi 27 avril 2011
Sérieux besoin de se dédoubler
Tsé quand tout arrive en même temps et à l'improviste ? Ben ça fait chier. En esti.
dimanche 17 avril 2011
Au moment où je vous écris ceci, il fait 30 degrés à l'ombre et j'ai plein de coups de soleil partout, mais maudit que c'est bon d'être en vacances !
Et aujourd'hui c'est ma fête, alors bonne fête à moi-meme !
Demain: direction Orlando (et vous savez ce que ça veut dire !)
Demain: direction Orlando (et vous savez ce que ça veut dire !)
jeudi 14 avril 2011
L'art de vous rendre jaloux
Ces temps-ci, tout va tellement vite que j'ai à peine le temps d'écrire un mot par-ci par-là. J'ai donc décidé de prendre quelques minutes de mon temps ce matin, pour vous avertir que je pars en Floride samedi matin (à l'aube) et que donc il n'y aura probablement pas d'autres articles avant mon retour, soit le 25 avril. Je suis gâté, non ? C'est mon cadeau de fête d'à peu près toute ma famille (mais surtout mes grands-parents qui m'invitent moi et mon amie pendant 9 jours dans leur condo, toutes dépenses payées). Alors, pour ma fête, je serai probablement allongé sur la plage de Fort Lauderdale à faire le plein de vitamines D. Héhé arrêtez donc de faire vos jaloux, parce que je n'ai pas fini. Je vais aussi passer une journée à Disney World et deux journées à Universal Studio ! Là vous pouvez être jaloux parce que j'ai fini !
Et merde je suis en retard....
Et merde je suis en retard....
dimanche 10 avril 2011
Exhibitionnisme
Parfois, il regrettait totalement sa célébrité. Il en était tellement dégoûté, qu'il avait envi de tout balancer par terre. Se savoir autant regardé, autant violé dans son intimité le bouleversait. Il y avait certainement un côté très voyeur à tout cela et il le savait parfaitement. Pourtant il continuait. Il continuait, même s'il ne savait pas exactement pourquoi. Était-ce par simple envie de se faire voir ? De simples et insignifiantes petites impulsions exhibitionnistes ? Ou c'était peut-être autre chose. Peut-être que c'était pour avoir de l'attention ? Pour se sentir au moins une fois apprécié et important. À moins que c'était tout simplement un besoin d'amour. Un besoin inconditionnel de ressentir qu'au moins une personne sur cette Terre l'aimait. Que ce monde n'était peut-être pas aussi dépourvu de sens qu'il le croyait. Car oui, il le savait, ses fans l'aimaient. Ils ne le connaissaient peut-être pas, mais ça ne changeait pas qu'ils l'aimaient. Et ça le suffisait. Sauf dans ces moments-là où il avait envi de tout balancer par terre. Ces moments-là où il savait que ce n'était pas assez, qu'il avait besoin de plus. Ces moments où même sa célébrité, son art, n'arrivaient plus à lui donner l'illusion que sa vie n'était pas vide.
De l'autre côté de l'écran, un vieil homme de soixante-douze ans l'observait en se masturbant depuis bientôt vingt minutes, ne se doutant pas du tout du vide intense que ressentait l'objet de son attention. Et lorsque l'autre se mit à pleurer, le vieil homme décida tout simplement de changer de model. Les stars ne doivent pas pleurer. Sauf si elles veulent voir leur carrière complètement anéantie.
De l'autre côté de l'écran, un vieil homme de soixante-douze ans l'observait en se masturbant depuis bientôt vingt minutes, ne se doutant pas du tout du vide intense que ressentait l'objet de son attention. Et lorsque l'autre se mit à pleurer, le vieil homme décida tout simplement de changer de model. Les stars ne doivent pas pleurer. Sauf si elles veulent voir leur carrière complètement anéantie.
vendredi 8 avril 2011
Tu sais que l'été s'en vient quand...
que tu es tombé complètement en amour avec cette chanson
It's empty in the valley of your heart
The sun, it rises slowly as you walk
Away from all the fears
And all the faults you've left behind
The harvest left no food for you to eat
You cannibal, you meat-eater, you see
But I have seen the same
I know the shame in your defeat
But I will hold on hope
And I won't let you choke
On the noose around your neck
And I'll find strength in pain
And I will change my ways
I'll know my name as it's called again
It's empty in the valley of your heart
The sun, it rises slowly as you walk
Away from all the fears
And all the faults you've left behind
The harvest left no food for you to eat
You cannibal, you meat-eater, you see
But I have seen the same
I know the shame in your defeat
But I will hold on hope
And I won't let you choke
On the noose around your neck
And I'll find strength in pain
And I will change my ways
I'll know my name as it's called again
...
lundi 4 avril 2011
dimanche 3 avril 2011
Douze chapitres
J'ai passé la journée à écrire et j'ai décidé que j'allais juste écrire un petit article pour vous exprimer à quel point je suis fier de moi. En effet, mon projet de dix-sept chapitres (voir article et l'autre) avance très bien. Aujourd'hui, je croyais faire une erreur en me relisant, mais finalement j'ai réalisé que ce n'était pas si mauvais que ça et que c'était même correct. Bon, c'est sûr que ça reste un premier jet, par moments un peu sec, mais il y a réellement du potentiel. C'est fou à quel point, quand quelque chose nous passionne dans la vie, c'est motivant. Plus que douze chapitres et, qui sait, peut-être que je posterai le résultat final sur mon blog ?
jeudi 31 mars 2011
Comme des enfants
En ce jeudi soir, il est nostalgique. Il est nostalgique de ce qu'était la vie à travers ses yeux insouciants d'enfant. Ce petit être qu’il était n'avait jamais peur de révéler tout ce qui lui passait par la tête. Ce petit être n'avait pas de problèmes, ou du moins pas de ceux qui lui auraient donné envie de tout abandonner et de faire un fuck you monumental à ce monde dépourvu de sens. Ce petit être était léger comme tout puisque, dès que quelque chose ne lui plaisait pas, il en parlait et quelques minutes plus tard tout était régler. Mais la grande personne qu'il est devenu n'est plus du tout la même. Ses problèmes, il croit maintenant qu'il vaut mieux les faire taire dans sa tête. Ses problèmes, il ne veut plus les partager car, il faut se l'avouer, c'est chiant de devoir endurer la mauvaise humeur de celui qui ne va pas bien. Alors il sourit. Il sourit même si ça fait mal comme le criss. Il n'a qu'à serrer les dents et encaisser la douleur comme une grande personne le ferait, parce que c'est maintenant sa nouvelle réalité. Une réalité sans-coeur pour tous ceux qui en ont.
Malgré tout, il n'oubliera jamais qu'il est toujours ce petit être qui, maintenant, joue à l'adulte. Il n'oubliera jamais qu'il n'est qu'un petit enfant, trop fragile pour ce monde, qui joue, malgré tout, au dur à cuir. C'est un imposteur. Ni plus, ni moins.
Malgré tout, il n'oubliera jamais qu'il est toujours ce petit être qui, maintenant, joue à l'adulte. Il n'oubliera jamais qu'il n'est qu'un petit enfant, trop fragile pour ce monde, qui joue, malgré tout, au dur à cuir. C'est un imposteur. Ni plus, ni moins.
mardi 29 mars 2011
Burning out
On dirait que rien ne va bien. J'ai beau tenter d'imiter un sourire, de la joie dans mon visage, rien ne fonctionne. J'ai l'impression que plus rien n'a de sens. La vie n'a plus de sens (en a-t-elle jamais eut ?). J'aimerais bien en parler à quelqu'un, mais c'est toujours dans ces moments-là qu'on se rend compte qu'on n'a pas de vrai confident. Oui, j'ai des amis prêts à m'écouter, mais me sentirais-je vraiment écouté ? Probablement pas, car je sais que TOUT le monde a ses problèmes, et mes problèmes sont le cadet de leurs soucis. Et quand on me demande si je vais bien, j'ai juste l'impression qu'on me le demande par politesse et que la personne ne le pense pas vraiment. C'est tout simplement une habitude de demander à quelqu'un qui ne feel pas s'il va bien et la plupart du temps, la personne qui le demande s'en criss comme de l'an 40. Alors non, je ne parle pas. Je ne parle pas, parce que je n'ai pas de vraie épaule sur laquelle m'appuyer. Ce que j'aurais besoin, ce n'est pas un câlin, ou quelqu'un qui me demande à chaque deux secondes si je vais bien (meilleur moyen pour me taper encore plus sur les nerfs, soit dit en passant). Ce que j'aurais besoin, c'est simplement quelqu'un qui, en me regardant, comprendrait ce que je ressens et, sans rien me demander, me laisserait sortir tout ce que j'ai sur le coeur. Puis, lorsque j'aurais finit de vomir mes problèmes, il/elle me dirait: ouais la vie est fuckée. Pis ça finirait là. That's it.
Et non, je ne blâme personne. Comme je l'ai dit plus haut, tout le monde a ses problèmes et a ben le droit de s'occuper des siens. Je ne cherche aucunement à obliger quelqu'un à venir prendre soin de ma vie fuckée. C'est ma vie, ma marde.
Et non, je ne blâme personne. Comme je l'ai dit plus haut, tout le monde a ses problèmes et a ben le droit de s'occuper des siens. Je ne cherche aucunement à obliger quelqu'un à venir prendre soin de ma vie fuckée. C'est ma vie, ma marde.
mercredi 23 mars 2011
Y'a du monde qui savent juste pas vivre...
Moi: << euh scuses-moi, t'es comme accoté sur ma case. >>
X: << je sais. >>
Moi: << Ok ben... >>
X: << r'garde j'étais là avant toi, ok ? >>
Quoi ??!!
dimanche 20 mars 2011
Tic Tac Tic Tac, disait l'horloge
J'ai tellement de choses à faire et à remettre pour la semaine prochaine que je n'aurai même pas le temps de respirer. Le plan de match ? Beaucoup de nuits blanches arrosées de café et oublier ma vie sociale pour un petit bout.
S'il vous plait quelqu'un, inventez-moi une machine à arrêter le temps !
S'il vous plait quelqu'un, inventez-moi une machine à arrêter le temps !
lundi 14 mars 2011
Un avant-goût de bonheur
Aujourd'hui, en descendant de mon bus, j'ai cru que j'hallucinais tellement il faisait beau. Il y avait comme un avant-goût d'été dans l'air et ça m'a fait rêver. Je me suis mis à marcher le même chemin qu'à tous les jours pour rentrer chez moi. Celui qui, d'habitude, me fait sacrer tellement il est long. Mais pas aujourd'hui, non. Aujourd'hui en marchant, je n'étais même plus dans mes souliers. J'étais dans l'été. Puis une réflexion est venue dans ma tête, comme pour remettre en question l'entièreté de mon fantasme: pourquoi je n'aime pas l'hiver ? En fait, je crois que la vraie question devrait-être: pourquoi l'hiver est si pénible ? Non, mais c'est vrai ! Comment peux-tu même penser à avoir un semblant de bonheur dans la face, quand il fait -40, que tu ne sens plus tes doigts, ni tes orteils, que tu portes un gros manteau d'hiver qui réduit ta mobilité de 110% et que la morve te coule au nez sans arrêt ? L'été, le bonheur est beaucoup plus facile (et oui, je suis au courant que l'affirmation que je viens de faire est abominable pour les amants de l'hiver, deal with it). Par exemple, si nous étions l'été en ce moment, je sais ce que je serais en train de faire. Je serais au parc, assis dans l'herbe, avec des amis ou seul (parce que le bonheur est aussi possible seul), couché sur le dos, à observer les nuages, en train de parler de tout et de rien, ou d'écouter la nature vivre. Et si j'avais un amoureux, je l'emmènerais dans la forêt et nous marcherions pendant des heures et des heures sans jamais nous tanner. Puis, nous nous coucherions dans l'herbe et nous aimerions la vie, rien de plus (je sais, je n'ai pas de chum et pas besoin de faire un article sur les joies du célibat). Bref, ça m’a fait remarquer à quel point ça me manque l'été et les petits bonheurs simples qui viennent avec.
Ah, et pendant toutes ses réflexions, j'écoutais cette chanson là, parce que ça me rappelle tellement de bons souvenirs et c’est tellement plein d’espoir.
Ah, et pendant toutes ses réflexions, j'écoutais cette chanson là, parce que ça me rappelle tellement de bons souvenirs et c’est tellement plein d’espoir.
jeudi 10 mars 2011
Le premier chapitre du reste de ma vie
Aujourd'hui, j'ai profité à max de ma journée de congé. Ce que j'ai fait ? J'ai écris, écris, écris, écris, écris et écris. J'ai passé presque toute l'après-midi à ébaucher mon fameux projet de dix-sept chapitres (voir article) et j'annonce officiellement qu'il ne m'en reste plus que seize. C'est fou comment je me sens bien en ce moment. J'ai l'impression d'avoir fini de courir le marathon et d'être sous l'emprise de l'adrénaline. En plus, je crois vraiment que c'est bon. Mais je n'ose pas encore me relire, car c'est là que je me rends compte que ce n'est pas aussi bon que je le croyais (voir même nul à chier) et je ne suis pas encore prêt à sortir de ma bulle de réussite et de fierté.
L'art d'abuser des congés Part II
6h33: Je dormais paisiblement et TROP bien. Soudainement, mon cellulaire se met à vibrer. Ah mais qu'est-ce que c'est ? Tiens c'est mon amie qui me texte pour me dire qu’on n’a pas d'école, à cause de la tempête. Ah ben coudonc.
6h42: Pu moyen de dormir. Je suis trop excité à l'idée d'avoir une autre journée de repos ! Dire que ça fait trois semaines de suite qui ne durent que quatre jours finalement (sans compter la semaine de relâche entre deux de ces semaines). Et dire que je me suis réveillé une heure plus tôt que lorsque j'ai de l'école, une journée de congé. C'est ironique, non ? En tout cas, me voilà, réveillé comme jamais, au sommet de ma journée, en train de contempler ce que je vais en faire. Et je me dis que la journée va être belle.
6h42: Pu moyen de dormir. Je suis trop excité à l'idée d'avoir une autre journée de repos ! Dire que ça fait trois semaines de suite qui ne durent que quatre jours finalement (sans compter la semaine de relâche entre deux de ces semaines). Et dire que je me suis réveillé une heure plus tôt que lorsque j'ai de l'école, une journée de congé. C'est ironique, non ? En tout cas, me voilà, réveillé comme jamais, au sommet de ma journée, en train de contempler ce que je vais en faire. Et je me dis que la journée va être belle.
mardi 8 mars 2011
Fuck that .
Réveil, manger, école, manger, devoirs, dodo. Réveil, manger, école, manger, devoirs, dodo. Réveil, manger, école, manger, devoirs, dodo. Réveil, manger, école, manger, devoirs, dodo. Réveil, manger, école, manger, devoirs, dodo. Réveil, manger, école, manger, devoirs, dodo. Réveil, manger, école, manger, devoirs, dodo. Réveil, manger, école, manger, devoirs, dodo. Réveil, manger, école, manger, devoirs, dodo. Réveil, manger, école, manger, devoirs, dodo. Réveil, manger, école, manger, devoirs, dodo. Réveil, manger, école, manger, devoirs, dodo. Réveil, manger, école, manger, devoirs, dodo. Réveil, manger, école, manger, devoirs, dodo.
Ah, et surtout: n'oublies pas de sourire.
Non, mais suis-je le seul à penser qu'il y a quelque chose qui cloche là-dedans ? On a oublié quelque chose de beau et ça me désole. On a oublié comment vivre. Et je ne parle pas du vivre pour préparer notre avenir et tout le kit. Je parle du vivre comme dans le sens vivre la vie. Asteure, on est tellement concentré sur la production qu'il faut produire, produire, produire, en moins de temps possible (parce que le temps c'est de l'argent) mais c'est où qu'on respire ? Allô ! Pourquoi il faut toujours penser à être le plus productif possible ? Pourquoi on ne peut pas juste vivre point ? Hein, pourquoi ? Et répondez-moi pas un truc du genre: parce que c'est comme ça, ou parce que on en a besoin. C’est pas vrai ça. Tu te rentres le doigt dans l'œil jusqu'au coude ben ben profond si tu penses ça.
Et oui, je suis fatigué. Mais ne mettez pas ça sur le dos de la fatigue. J'ai l'impression que mes propos ont même plus de sens quand je suis exténué que lorsque je suis bien réveillé.
Ah et j’allais oublier : le virus que j’ai pogné je ne sais pas comment l’autre jour (voir article) a changé de technique. Maintenant, lorsque je suis sur une page internet, il prend le malin plaisir de me changer automatiquement de site et de m’emmener sur une autre page de faux concours où une madame à la voix fatigante tente de me faire inscrire. Sincèrement, dans quel genre de monde vit-on ?
Ah, et surtout: n'oublies pas de sourire.
Non, mais suis-je le seul à penser qu'il y a quelque chose qui cloche là-dedans ? On a oublié quelque chose de beau et ça me désole. On a oublié comment vivre. Et je ne parle pas du vivre pour préparer notre avenir et tout le kit. Je parle du vivre comme dans le sens vivre la vie. Asteure, on est tellement concentré sur la production qu'il faut produire, produire, produire, en moins de temps possible (parce que le temps c'est de l'argent) mais c'est où qu'on respire ? Allô ! Pourquoi il faut toujours penser à être le plus productif possible ? Pourquoi on ne peut pas juste vivre point ? Hein, pourquoi ? Et répondez-moi pas un truc du genre: parce que c'est comme ça, ou parce que on en a besoin. C’est pas vrai ça. Tu te rentres le doigt dans l'œil jusqu'au coude ben ben profond si tu penses ça.
Et oui, je suis fatigué. Mais ne mettez pas ça sur le dos de la fatigue. J'ai l'impression que mes propos ont même plus de sens quand je suis exténué que lorsque je suis bien réveillé.
Ah et j’allais oublier : le virus que j’ai pogné je ne sais pas comment l’autre jour (voir article) a changé de technique. Maintenant, lorsque je suis sur une page internet, il prend le malin plaisir de me changer automatiquement de site et de m’emmener sur une autre page de faux concours où une madame à la voix fatigante tente de me faire inscrire. Sincèrement, dans quel genre de monde vit-on ?
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