jeudi 30 juin 2011

Magnifique

Blogger, tu me fais chier.

Je ne sais pas pourquoi, je ne sais pas si ça arrive juste à moi, mais blogger m'empêche de commenter avec mon propre compte. À chaque fois que j'essaye de commenter un billet, ou que j'essaye de répondre à un commentaire sur mon blog, c'est comme s'il ne me reconnaissait pas. Allô blogger, c'est parce que ça fait cinq mois que notre liaison dure ! Cinq mois, jours pour jours, que nous sommes amants et que tu endures tous mes états d'âmes sans te plaindre. N'es-tu donc pas capable de me reconnaître ? À moins, justement, que ça ne soit la punition que tu me donnes pour m'être défouler pendant cinq mois sur toi ?

Bref, j'aimerais juste signaler que je ne peux pas répondre à vos commentaires. Je l'ai lis tous, et je vous suis très reconnaissant de prendre le temps de commenter mes billets. Et si quelqu'un à une solution à mon problème, ne vous gênez surtout pas !


(By the way, je t'aime quand même tsé.)

mercredi 29 juin 2011

Délire de rêve

Vous savez ce genre de rêve dans lequel on se fait poursuivre par un monstre quelconque et qu'on a toujours l'impression qu'il nous pourchasse lorsqu'on se réveille ? Ben mon monstre à moi, c'était une guêpe et je vous jure que ce n'était pas drôle de me voir debout sur mon lit, à 5h du matin, en train de secouer tous les draps pour voir si elle était encore là. FML.

lundi 20 juin 2011

Renaissance

Je me sens une nouvelle personne. Ou du moins, je sens cette nouvelle personne, au plus profond de mon être, qui n'attend que de vivre. Et j'ai décidé que j'allais la laisser. J'ai décidé que j'allais passer à autre chose avec ma vie. Je ne veux plus, je ne me sens plus, j'en ai assez. C'est fini comme on dit. Je vais rennaître bientôt, maintenant, un jour. Et quand ça arrivera, je serai libre. Libre d'être une tout autre personne. Libre, peut-être aussi, de me trouver, moi, en tant que personne. Moi, en tant qu'individu. Moi, qui n'aurai plus, mais qui serai.

Qui serai enfin...

mardi 14 juin 2011

Un excès de créativité

Mon projet de dix-sept chapitres (finalement condensés en douze) m'empêche de dormir. J'arrive bientôt au terme et plein de nouvelles idées n'arrêtent pas de surgir dans ma tête, dès l'instant où je pose la tête sur mon oreiller. Il ne me reste que deux chapitres à écrire (vous vous rendez compte que ça fait presque deux ans que j'ai ce projet-là en tête !!!) et je n'arrive pas à dissocier ma conscience de cette histoire. Mais bon, je ne m'en plain pas vraiment. Avec un peu de chance, ce sera la première histoire que j'aurai fini et c'est tout un accomplissement pour ce petit être manquant de persévérance que je suis ! Cependant, je suis aussi un être très perfectionnisme en ce qui concerne l'écriture et je sais que je ne serai jamais pleinement satisfait de mon histoire. Mais tout ce qui compte, sincèrement, c'est d'avoir enfin réussit à la sortir de ma tête et pour le reste, je n'ai qu'à espérer que ce sera lisible et que les gens à qui je la ferai lire ne seront pas trop chien.

Amen et bonne nuit.

samedi 11 juin 2011

j e  p r o c r a s t i n e  j e  p r o c r a s t i n e  j e  p r o c r a s t i n e  j e  p r o c r a s t i n e  j e  p r o c r a s t i n e  j e  p r o c r a s t i n e  j e  p r o c r a s t i n e  j e  p r o c r a s t i n e  j e  p r o c r a s t i n e  j e  p r o c r a s t i n e  j e  p r o c r a s t i n e  j e  p r o c r a s t i n e  j e  p r o c r a s t i n e  j e  p r o c r a s t i n e  j e  p r o c r a s t i n e  j e  p r o c r a s t i n e  j e  p r o c r a s t i n e  j e  p r o c r a s t i n e  j e  p r o c r a s t i n e  j e  p r o c r a s t i n e  j e  p r o c r a s t i n e  j e  p r o c r a s t i n e  j e  p r o c r a s t i n e  j e  p r o c r a s t i n e  j e  p r o c r a s t i n e  j e  p r o c r a s t i n e  j e  p r o c r a s t i n e  j e  p r o c r a s t i n e  j e  p r o c r a s t i n e  j e  p r o c r a s t i n e  j e  p r o c r a s t i n e  j e  p r o c r a s t i n e  .

mercredi 8 juin 2011

J'adore les orages ! Je pourrais m'installer devant ma fenêtre et les regarder pendant des heures et des heures. Il y a quelque chose de rassurant dans tout ce vacarme. Quelque chose qui me rappelle mon enfance, lorsque j'avais l'habitude d'aller courir à l'extérieur. D'aller me faire submerger par ce vent et cette pluie apocalyptique. Mais surtout, surtout: voir ma mère paniquer à chaque bourrasque ou à chaque éclair qui traverse le ciel. Y’a rien de mieux que ça !

Oh mon dieu ! Y'a eut une mini panne de courant ! Je capote ! S'il y a bien une chose que j'aime encore plus que les orages, c'est les pannes de courant ! Alors imaginez quand les deux arrivent en même temps ! Je suis fou comme de la marde !

Il fait froid, non ?

dimanche 5 juin 2011

Hum...

Je dois arrêter de trop m'attacher aux gens. Sérieusement. Et arrêter de trop leur faire confiance aussi. Et arrêter de chercher de l'amour chez ceux que j'aime, ceux-là ne réussiront qu'à me cracher au visage. Et arrêter de trop espérer, ça ne sert qu'au désespoir ces affaires-là. Et pourquoi pas arrêter de tomber en amour tant qu'à arrêter tout ?

Oui, fini l'amour. Fini l'espoir. Fini.