mercredi 8 février 2012

Un an

Wow, ça fait déjà un an que ce blog existe ! Pouvez-vous le croire ? Un an, pendant lequel vous avez dû endurer toutes les vomissures qui me sortaient par la tête, tous mes états d’âmes les plus complexes et les plus pathétiques et toutes mes réflexions qui ne faisaient de sens à personne, y compris à moi-même. Un an, qui m’a fait découvrir tellement de choses à propos de moi et de la vie. Un an, qui m’a permis de grandir un peu plus à chaque jour. Un an à me plaindre, un an à rire, un an à déprimer, un à ne pas dormir. Un an à me battre aussi. Et dire que lorsque j’ai commencé ce blog j’étais ce petit adolescent naïf, marginal et boutonneux à la recherche de lui-même et noyé dans l’insécurité. Pis maintenant, ben…disons que l’acné se porte pas mal mieux.

À présent, je me rapproche tranquillement pas vite de l’âge adulte et des responsabilités (yeah right). L’an prochain je m’en vais au Cégep, probablement en communication et cinéma, mais ça reste à déterminer (science humaine profil international ça a l’air vraiment intéressant aussi pis ça me fait chier de devoir choisir entre les deux parce que je veux goûter à tout et que seize-ans-presque-dix-sept c’est vraiment trop jeune pour décider de ce que l’on veut faire de notre vie).

Sinon, côté écriture, j’ai recommencé un autre projet. Je suis déjà rendu au chapitre six (quoi que je vais devoir le réécrire ce chapitre-là, car tout commence à déconner et je sens que je ne suis plus du tout en contrôle). D’ailleurs, ça me fait penser; je vais sûrement recycler ce blog en journal de bord d’écrivain amateur dans lequel vous pourrez lire toutes mes démarches et toutes mes pensées à propos de ce projet. Ça vous tente ? Moi oui en tout cas ! Ça m’encouragerait à continuer, pis j’aurais enfin de quoi à faire avec ce blog-ci. Car, je vous l’avoue, j’ai longuement pensé à le supprimer, ne sentant plus qu’il était adéquat pour moi puisque je suis rendu ailleurs dans ma vie. Mais bon, À Crâne Ouvert reste tout de même une partie de moi et le détruire serait comme détruire un de mes organes vitaux.

À part de ça, ben c’est pas mal tout ce que j’avais à dire, je crois. Pour terminer, j’aimerais remercier tous ceux qui me lisent encore. C’est vraiment cool de votre part et vous ne savez pas à quel point c’est important pour moi. Je vous aime.

Ciao !

**Note: ce message était destiné pour le 2 février, mais compte tenu du fait que mon ordinateur était inaccessible, je le poste aujourd'hui.**


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