lundi 9 avril 2012

Bonjour, bonjour !

Ça faisait un petit bout, non ? Mais j'ai apprécié cette trêve d'écriture à fond, aussi improbable que cela peut paraître venant de ma part. Je crois que j'avais besoin de mieux me comprendre pour pouvoir mieux écrire. Et il faut dire aussi que l'insécurité se faisait une vraie joie de me dévorer esprit. Je ne pouvais m'empêcher de me demander pourquoi ou pour qui j'écrivais, si je recevais réellement de la satisfaction à le faire, si j'en étais vraiment capable, et cetera. C'était l'angoisse, quoi. L'angoisse insoutenable qui me rongeait les entrailles. Bref, cette trêve m'a fait comprendre bien des choses et m'a fait le plus grand bien.

Là, présentement, je suis sur un autre projet d'écriture. Un plus gros et encore plus important que l'autre. Mais j'hésitais vraiment à vous en parler parce que, depuis environ une semaine, j'écris au moins une fois par jour et c'est vraiment le pied. Et je me disais que si je commençais à m'en vanter, à crier haut et fort que j'écrivais comme un vrai dieu ces temps-ci, tout disparaîtrait. Vous savez, ce bon vieux: ''si je le partage, je le perd''. Et bien c'est ça. Mais là je prends tous les risques du monde et je vous en fais part. Je vais peut-être vous donner plus de détails tout au long du processus d'écriture. Ou pas. Seul l'avenir nous le dira. Pour l'instant, je ne sais toujours pas de ce que je vais faire de ce blog. Mais j'aime mieux ne pas trop me poser de questions. J'écris ici quand j'en ai envi, that's it. Ça ne devrait pas être plus compliqué que ça. Parfois, il y a des choses qui ne méritent même pas ou qui ne devraient pas sortir de leur superficialité. Ça, c'en est une.

Sinon, ben je suis en congé en ce moment. Pour une semaine. C’est génial, non ? Et c’est ma fête bientôt. Je vais avoir 17 ans, le 17. Quand même, c’est un âge honorable, non ? Et en plus, ça va supposément être mon année chanceuse. On verra bien. Je crois d’ailleurs que «On verra bien» est en voie de devenir ma nouvelle devise. Parce que, sincèrement, je crois que c’est plus sain de vivre au jour le jour. Si je commençais à penser à tout ce qui m’attend au retour des vacances ou à ce qui m’attend plus tard, je ne dormirais plus. Alors, «On verra bien» devient un mécanisme de défense très efficace contre mes angoisses personnelles.

Bon, assez parler pour à soir. Surtout que j'ai vraiment commencé à dévier du sujet vers la fin. Donc, à la prochaine !

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